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ÝíÕá ÇáãáæÍí
On raconte
qu’un homme vint un jour à la portière du Calife ALMANSUR et dit au chambellan : Ô chambellan , dites au commandeur des croyants qu’il y a à la portière un savant qui s’appelle ‘Açime ,et le Calife connaît bien notre vieille connaissance durant plus d’une année aux écoles de (ACHCHAM ) , et il veut dire bonjour et renouveler au Calife ma reconnaissance de sa souveraineté ( IMAMAH ) .
Le chambellan reconnut l’homme et le laissa passer. Il entra et salua , mais Abû Arraoiniq ne fut pas content à cause de sa mauvaise façon de parler et son impolitesse. Il le fit s’asseoir et lui demanda : qu’elle est le but de ta présence ici ? Il répondit : c’est pour voir le commandeur des croyants et renouveler notre vieille connaissance. Il donna son ordre de lui donner un mille dirhams. Tout de suite, il quitta le divan.
Après une année , le fils de ( ALMANSUR ) décéda , l’homme revint et entra au divan , où ( ALMANSUR ) fut dans la séance des condoléances . Il salua, et pria Dieu pour lui, alors (ALMANSUR) lui demanda : pourquoi te trouve – tu ici ? Il répondit : c‘est moi l’homme qui était avec toi à (ACHCHAM), je me trouve ici pour te consoler ta douleur du malheur qui est arrivé, et accomplir le devoir des condoléances. Il donna son ordre de lui donner cinq cents DIRHAM.
Après une autre année, l’homme revint, mais il ne trouva aucun prétexte pour entrer, donc il accompagna les autres, et entra, et salua. Le calife lui demanda : pourquoiest – tu venu ? Il répondit : c‘est moi l’homme qui était avec toi aux écoles de (ACHCHAM), où noue écrivions les nouvelles, écoutions les paroles {et peut-être les paroles du messager de Dieu = ALAHADITH}. Une fois j’écrivais avec toi la prière du besoin ; Dieu subvient aux besoins de ceux qui récitent cette prière. Malheur ! je ne la trouve plus. (ALMANSUR) dit : ce n’est pas la peine de chercher cette prière, car elle n’a jamais une suite favorable. Regarde – moi, j’avais prié Dieu (ALLAH) Durant trois ans pour me délivrer de toi et de ton malheur mais je n’était pas sauver ; et s’elle est exaucée, je devrais être délivré de toi. Quand l’homme eut entendu cette parole, il eut honte.
Note : Nous citons cette histoire pour dire : si l’homme était savant sans raison, il serait déshonoré tomberait et lui irait descendre de son degré
F. ALMALLOUHI
Je vous remercie de raconter cette histoire ainsi d'avoir faire cet effort pour la traduire, sachant que traduire notre patrimoine culturel est tellement difficile car il contient des utilisations linguistiques et des concepts sémantiques différents.
Mais le traducteur, d'une autre part, doit être conscient que traduire n'est pas transmettre un texte d'une langue à une autre, mais ,essentiellement, comprendre la culture de la langue départ et, surtout, maîtriser la langue cible. Cette maîtrise nécessite la flexibilité et la capacité de détourner le sens sans le trancher où le déformer..mais qu'il préserve toute son originalité
Ce que je remarque dans votre traduction, monsieur, que vous êtes un francophone, certes...mais êtes vous traducteur???
Je pose cette question car, comme je suis traductrice de diplôme, professeur de métier, vous avez couru directement au plus facile des niveaux de la traduction, la traduction litterale...j'ai sentis aussi l'utilisation du dictionnaire, qui es totalement autorisé quand le traducteur ne peut pas trouver un équivalant d'un mot dans la langue cible, mais l'utilisation de ce mot doit soumettre aux règles du concept qui est variable et non seulement du sens trouvé dans les dictionnaires et glossaire qui est vaste et ambigu.
Ainsi, j'ai remarqué votre utilisation des citations( les paroles du Calife et le savant). Vous savez bien , monsieur, qu'on français, les citations au style directes sont caractérisés par la ponctuation( les deux point et les guillemets) qui s'absente si cette citation est au style indirect. En observant votre texte, vous avez suivis le style arabe des citations, même pas le style indirecte libre, et ça influx non l'originalité du texte mais l'organisation française des phrases..et pour traduire, il faut les respecter touts les deux.
"Açim" pourquoi est ce que vous avez utilisez le "ç" pourtant il est suivi par un "i"?
"et s’elle est exaucée" Cette phrase est une phrase au conditionnelle..vous avez raison, en français, on supprime le premier voyelle quant le mot qui lui succède commence par un voyelle, mais cette règle n'est appliquée qu'avec les articles définis ( le- la) et non avec 'si' du conditionnelle, donc elle doit être ainsi " et si elle est exaucée"( pourtant je trouve pas cette phrase correcte, car le mot exaucer veux dire satisfaire quelqu'un...c'est un verbe transitif, je n'est pas compris la forme de cette phrase. pourquoi vous l'avez conjugué avec l'auxiliaire "être"?
"il serait déshonoré tomberait et lui irait descendre de son degré", vous avez cité cette phrase tell qu'elle est en arabe...mon cher monsieur, vous devez la reformez de la même manière qu'elle est dite en français, on dis " ils serait déshonore et dégradé" et c'est tout
Mes respects
WARDA